Le mois de la danse

Ce mois-ci nous sommes allées voir deux spectacles au théâtre de Champ fleuri grâce à Mme Bellec-Tello et du lycée. Tous les optionnaires de la danse étaient présents. Nous avons pris le bus le vendredi après midi pour y aller.
Les chorégraphes et danseurs …
Nous avons vu tout d’abord le spectacle de Anne Teresa Keersmaeker, « la Nuit Transfigurée ». Elle est une danseuse et chorégraphe belge. Elle est née le
11 juin 1960 à Malines (Belgique). De 1978 à 1980, elle étudie la danse au centre Mudra à Bruxelles. Puis à la Tisch School of the Arts de New York.
Anne Teresa Keersmaeker crée en 1983 «Rosas danst Rosas » et la compagnie Rosas. En 1986, elle continue de créer des films et des chorégraphies .
Ensuite, nous avons assisté au spectacle «Free Fall» du chorégraphe Sharon Fridman. Il est un chorégraphe, danseur et directeur de la compagnie «COMPAÑIA SHARON FRIDMAN» qu’il a créée en 2007. Sharon Fridman est né en 1980 à Hadera (Israël). Il est passé par de la danse contemporaine, classique et folklorique. Il travaille sur des codes de la société : la chute, la nécessité, la verticalité, l’impulsion et le contact. À partir de l’année 2000, il commence à faire des chorégraphies. Le spectacle ést constitué de six danseurs professionnels et une vingtaine de danseurs bénévoles pour développer de véritables «paysages humains».
Nos ressentis sur chaque spectacle …
La Nuit Transfigurée : Nous avons bien aimé le premier spectacle qui raconte une histoire d’amour dans laquelle la femme trompe son mari. Il y avait une recherche musicale et même avec 3 danseurs, ils pouvaient remplir l’espace sur la scène. L’histoire était plus narrative que le second.
Free Fall : Nous avons préféré le second spectacle car il y avait plus d’effets spéciaux et à un moment c’est quelqu’un du groupe qui est venu jouer grâce à sa tablette pour remplacer la musique. Il y avait beaucoup de techniques et la musique était intéressante. Le thème représentait bien le thème de la société sur la chute : lorsque quelqu’un tombait, il y avait toujours un pour l’aider à se relever.